Le sang d'un chat, comme celui d'un homme, contient des globules en suspension qui circulent dans le corps, véhiculés par le plasma. Analyser le taux de globules du sang permet d'obtenir des indications précieuses sur la santé du chat. La mesure de la tension artérielle est utilisée dans la même optique. Elle reflète la pression exercée sur les parois des artères principales quand le coeur fait circuler le sang dans l'organisme.

Le sang des chats contient des globules rouges et des globules blancs. Les globules rouges, ou érythocytes (ou encore hématies), fournissent l'oxygène aux tissus, puis ramènent le gaz carbonique dans les poumons, qui l'explusent. Le transport s'effectue grâce à un pigment à base de fer, l'hémoglobine. Les globules rouges sont produits dans la moelle des os et toute diminution dans la concentration en hémoglobine du sang a, à terme, pour conséquence une anémie.

GLOBULES BLANCS

Les globules blancs, eux, aident à combattre les infections. Les infections virales soudaines sont caractérisées par une chute du nombre de leucocytes en circulation, alors que dans le cas d'une infection de longue haleine la population de lymphocytes augmente généralement. Une présence massive de parasites peut également entraînr un accroissement du nombre des éosinophiles (un autre type de globules blancs). Les prises de sang permettent de détecter le type de maladie dont souffre un chat malade.

PLASMA SANGUIN

Quand on sépare le plasma des globules en centrifugeant un échantillon de sang (c'est-à-dire en le passant dans une machine rotative qui sépare les liquides par utilisation de la force cenrifuge), on obtient un lquide clair, couleur de paille. Ce liquide est riche en protéines dissoutes et contient des minéraux, comme le calcium et le sodium. Le plasma contient également le produit de la décomposition des protéines, qui est filtré dans le sang et évacué par l'urine quand le sang traverse les reins.

 Au fil du temps , les chats ont été l'objet d'innombrables superstitions, mais celle - ci sont si confuses et si contradictoires qu'il est pratiquement impossible de s'y retrouver. La grande question, bien entendu, est de savoir si les chats portent bonheur ou s'ils sont de mauvais augure. *Plus précisément, qu'en est - il de certains types de chats -les chats noirs et les chats blancs , en particulier?

Depuis des centaines d'années, les chats sont considérés comme des animaux qui portent chance. Cette croyance a deux origines.

ANIMAUX SACRES

La plus ancienne de ces croyances remonte à lEgypte antique, où le chat était un animal sacré. On pensait alors que le chat était porteut de nombreux bienfaits, qui rejaillissaient sur la maison qu'il habitait et beneficiaient à ses occupants. Cette coyance repose simplement sur le fait que les chats coupaient court à la présence indéniable des souris et des rats dans la maison. Mais les mythes et les légendes transformèrent cette simple vérité en une croyance plmus vaste, et on considéra que les chats apportaient longue vie, santé, bonheur et prospérité.

CHAT DIABOLIQUE

Cette conviction subit un revers quand l'Eglise chrétienne se mit à mener une campagne contre nos amis félins, en les considérants comme des suppots de satan. Ces soi - disant adeptes du malin devinrent craints et détestés. Mais s'ils croisaient votre route et que rien de néfaste ne vous arrivait, on considérait que vous aviez bénéficié d'une chance incroyabke. D'une certaine façon, donc, la croyance que les chats portent chance persistait.

On pensait qu'en traitant avec bonté un chat chez soi, on apaisait son maître, le diable, et que de cette façon on échappait au malheur.

Si un chat entrait dans votre maison et qu'il était bien reçu, on pensait evidemment que le diable se trouvait dans votre camp, ce qui était considéré comme extrêmement favorable, du point de vue de la chance.

 

LE MARDI GRAS DES CHATS

Dans les années 1930; les habitants d'Ypres remirent en vigueur le festival, mais remplacèrent les chats vivants par des effigies.

Abandonnés pendant la seconde guerre mondiale, la fête repris ses droits dans les années 1950. Depuis, elle n'a fait que croître et embellir. Le défilé comporte des chats géants, des fanfares et des chars, qui illustrent les diverses périodes de l'histoire féline. Les effigies de chats qui sont présentées sont souvent d'authentiques pièces de musée. Parmi les thèmes du festival : le culte du chat dans l'acienne Egypte, les proverbes félins, le chat botté et la persécution des chats et des sorcières. L'énorme défilé des chars est le clou du spectacle, et on jette encore des effigies de chats depuis la tour de Belfort, avant de brüler des mannequins de sorcières et qu'un feu d'artifice soit tiré.

 La robe caractéristique du rex cornish résulte de la mutation dite "rex". Dépourvue de poils de garde, cette robe est formée de sous - poil et de duvet. La fourrure courte et frisée, en particulier sur le dos, produit un effet ondulé. La mutation, apparue en cornouailles, n'a rien à voir avec celle qui est à l'origine du rex devon.

Le rex cornish est la seule race indigène britannique qui possède la tête anguleuse et le corps mince du siamois.

La robe originale de ces chats est facile à entretenir. Il ne faut jamais la toiletter avec une brosse dure, mais la lustrer à la main ou la frotter avec une peau de chamois pour lui redonner du brillant.

Quand elle devient grasse, plutôt que de la shampooiner, il vaut mieux donner un bain de son au chat, ce qui nettoiera la fourrure sans altérer son apparence.

SUCCES CROISSANT

Le rex cornish, qui fait désormais des adeptes dans le monde entier, existe dans toutes sortes de variétés. Les formes bicolores, comme le rex cornish noir et blanc, sont assez courantes. Leurs marques n'ont pas forcément à être symétriques, car la qualité de la robe prime chez les chats d'expositions.

La fourrure des chatons est souvent plus clairsemés que celle des adultes,, mais les plages dénudées sont considérés comme des défauts graves.

POSTURE ASSISE

Les rex cornish prennent souvent une posture inhabituelle, le bout de leur queue pointant vers le haut quand ces chats sont au repos.

La queue est très souple et longue, comme les pattes, ce qui accentue la longueur du corps.

Ces chats sont toujours appréciés, en partie à cause du contraste qu'offrent les zones rousses - orange et les plages blanches de leur robe. Ce motif est frequent dans les lignées de chats de gouttière ordianire. Les chats prientaux n'ont pas joué le rôle dans leur développement associés aux chats d'Asie continentale.

La différence entre sujets à poil long et sujets  poil court est beaucoup moins marquée chez les chats sans pedrigree que chez les chats de race pure (ce trait ayant été accentué chez ces derniers par élevage sélectif.). De même, l'aspect physique global, ou type, des chats sans pedigree est bien moins standadisée que chez les chats de race, qui sont en partie jugés sur leur morphologie. La plupart des chats sans pedigree ont un tête relativement arrondie, assez proche de celle du british shorthair, de l'american shorthair ou de l'européen actuels, qui descendent tous de chats de gouttière.

Leur corps, de type médioligne, ou moyen, n'a pas les os épais du persan et n'est pas aussi délicat que celui de certains orientaux.

 

MELANGE DE COULEUR

L'étendue des zones rousses et blanches de la robe (qui est très individuelle), varie souvent beaucoup d'un chat à l'autre même si les plages blanches se limitent en général au - dessous du corps, du menton au poitrail et jusqu'au ventre. Les marques tabby sont fréquentes, puisqu'elles n'ont pas été éliminées par élevage sélectif.